Travail à faire pour lundi 17 octobre
Travail individuel
- Reprendre le cours
- Terminer le schéma heuristique
-
Recopier la frise page 59 en ajoutant les dates des régnes et les
dynasties des principaux empereurs romains à partir d'Octave Auguste en
vous aidant de www.wikipedia.fr et http://www.empereurs-romains.net/emp00chrono.htm
Travail collectif: proposer par groupes, une réponse organisée, articulée autour d'un plan autour des deux sujets suivants, en vue d'une présentation orale de 10 à 15 minutes maximum:
Sujet 1 - L'édit de Caracalla ou l'édit étendant la citoyenneté à l'ensemble de l'Empire (68 et suivantes) Problématique générale : Comment l'édit de Caracalla permet-il l'extension de la citoyenneté et sa diffusion dans l'Empire pour maintenir son unité, mieux le maîtriser et intégrer voire assimiler via la romanisation, les différents peuples qui le composent ?
Sujet 2 - Diffusion et extension de la citoyenneté à l'Empire et limites (64 à 68)
Problématique générale : Quelles sont les formes et les conséquences d'une romanisation généralisée dans les
territoires de l'Empire grâce à la citoyenneté pour tous ?
Séance
3 - l'extension de la citoyenneté et sa diffusion dans l'Empire
permettent de maintenir son unité, de mieux le maîtriser et d'inclure
via la romanisation, les différents peuples qui le composent
Vérification du travail, passage à l'oral et reprise: 10 élèves n'ont pas fait le travail demandé (schéma heuristique)
Sujet 1 - L'édit de Caracalla, l'édit étendant la citoyenneté à l'ensemble de tous les hommes libres de l'Empire en 212
- Edouard, Augustin, Gérard, Archibald, Antonin - 13
- Charlotte, Faustine, Lola, Thaïs - 14
Sujet 2 - Diffusion et extension de la citoyenneté à l'Empire et leurs limites
- Charles, Luc, Umberto - 14
- Maylis, Maylis, Chloé, Clémentine et Domitille - 14
Chronologie de la diffusion de la citoyenneté romaine dans l'Empire: une diffusion progressive et graduelle
41-54 - Claude accorde la citoyenneté romaine aux élites des provinces gauloises (Belgique, Gaule lyonnaise et Aquitaine) alors que la gaule Narbonnaise en bénéficie déjà (tables claudiennes)
69-79 - Vespasien accorde la citoyenneté à l'Espagne
117-138 - Hadrien accorde la citoyenneté aux peuples d'Orient et aux pérégrins (sujet de l'Empire, n'ayant pas la citoyenneté romaine)
212 - Edit de Caracalla accorde la citoyenneté à tous les hommes libres de l'Empire
L'ensemble de ces décisions impériales entraîne la diffusion progressive de la citoyenneté à des territoires de plus en plus éloignés de Rome (peuples et provinces de statut différents), qui aboutit à accorder la citoyenneté romaine à tous. Cela ne se fait pas sans critiques ni motivations cachées.
Diffuser la citoyenneté par l'édit de Caracalla permet de conserver et de faire l'unité de l'Empire
Cours en autonomie: Questions 1 et 2 du document 3 page 69
Cours dialogué: reprise
Que constate Aelius Aristide quant à l'organisation de l'Empire et la diffusion de la citoyenneté romaine ?
Aelius
Aristide distingue le citoyen romain du non-romain en s'appuyant sur
des critères liés à la naissance et à la transmission de la citoyenneté
par la famille, à la condition sociale et financière, à leurs capacités et vertus
prétendument supérieures.
Il y a donc une distinction entre deux groupes: l'un possède les droits de cité (droits de propriété, droit de participer à la vie politique, droit judiciaire, exemptions de taxes...), l'autre est exclu de toute activité politique et doit obésissance, tout en s'acquittant d'impôts supplémentaires et d'une participation au service militaire.
Il y a donc une distinction entre deux groupes: l'un possède les droits de cité (droits de propriété, droit de participer à la vie politique, droit judiciaire, exemptions de taxes...), l'autre est exclu de toute activité politique et doit obésissance, tout en s'acquittant d'impôts supplémentaires et d'une participation au service militaire.
Que fait l'Empire de Rome pour mériter l'éloge du philosophe grec ?
Rome a su en offrant la citoyenneté
progressivement mettre fin à la distinction que l'on retrouve à Athènes
et chez les Grecs, celle entre Grecs civilisés et Barbares étrangers et
non civilisés. Faisant cela, Rome a créé un sentiment d'appartenance et une communauté d'intérêts au sein de l'Empire, favorisant son unité, le maintien et la stabilité du pouvoir politique à Rome tout en incluant les élites des peuples et provinces de l'Empire
dans son organisation et sa gestion. Autres intérêts : l'Empire n'a
jamais été puissant car il n'a jamais été aussi "riche en hommes" et en
ressources.
L'édit de Caracalla (ou Constitution antonine) en 212 offre la citoyenneté à tous les hommes libres de l'Empire, s'écartant des précédentes politiques d'octroi de la citoyenneté
L'édit de Caracalla (ou Constitution antonine) en 212 offre la citoyenneté à tous les hommes libres de l'Empire, s'écartant des précédentes politiques d'octroi de la citoyenneté
Cours en autonomie: A partir des exposés, des questions 1 à 5 page 71 + Bilan et du livre, les élèves produisent un schéma heuristique présentant l'édit de Caracalla, ses motivations, ses conséquences et limites, son inscription dans la continuité de l'extension de la citoyenneté à l'Empire.
Motifs et raison de l'extension de la citoyenneté via l'édit de Caracalla
- Raisons religieuses :
- étendre les cultes romains et impérial dans toutes les provinces et villes pérégrines
- Raisons fiscales :
- Raisons politiques :
- Permettre à tous, de participer plus ou moins activement et directement à la vie politique de Rome (intégration politique et sociale relative)
- Raisons administratives :
(Les nouveaux citoyens gardèrent la faculté
de se soumettre à leurs usages traditionnels et coutumiers. D'où un
régime d'option laissée aux citoyens entre les règles romaines et les coutumes
locales.)
Oppositions, critiques et limites de l'édit:
- Hostilité liée à la gouvernance violente et insolente de l'Empereur
-
Crainte d'une perte de pouvoir politique, social et symbolique car les
élites romaines constatent que leur citoyenneté n'est plus un privilège
dans l'Empire. En effet, il y a plus de citoyens de droit romain hors de
Rome qu'à Rome.
-
Prédation de l'Empereur et son âpreté au gain via l'augmentation des
impôts liée à l'extension du nombre de citoyens (Dion Cassius 5 page 71)
-
Risque militaire accru pour l'Empire car le recrutement des soldats et
légionnaires s'avère plus compliqué (fin de l'obligation militaire)
Partisans:
Partisans:
-
les non citoyens qui gagnent le droit de cité et donc des droits en
plus, des devoirs en moins, tout en pouvant se revendiquer comme citoyen
romain
Bilan et impacts de l'édit de Caracalla ou Constitution antonine:
C'est une mesure révolutionnaire dans le cadre des politiques d'attribution progressive de la citoyenneté car :
- elle inclut en une fois, tout l'Empire et ses hommes libres,
-
elle n'est plus sollicitée, transmise de manière héréditaire ou obtenue
après services rendus
- elle est donnée sans contreparties (à l'exception des impôts spécifiques).
- elle est donnée sans contreparties (à l'exception des impôts spécifiques).
-
elle met fin définitivement à une division sociale et politique dans
l'Empire, redistribuant et réorganisant les pouvoirs à l'échelle de
l'Empire et non plus de la seule Rome.
Cela marque l'aboutissement d'un long processus historique qui, par des concessions plus ou moins généreuses, a progressivement étendu à des étrangers les droits du citoyen romain. Cela a posé les fondements pour une romanisation massive de l'Empire: le territoire de l'Empire grâce à une citoyenneté généralisée, s'est unifié autour du droit romain, de ses modes d'occupation de l'espace, de ses dieux et de ses manières de vivre.
Cela marque l'aboutissement d'un long processus historique qui, par des concessions plus ou moins généreuses, a progressivement étendu à des étrangers les droits du citoyen romain. Cela a posé les fondements pour une romanisation massive de l'Empire: le territoire de l'Empire grâce à une citoyenneté généralisée, s'est unifié autour du droit romain, de ses modes d'occupation de l'espace, de ses dieux et de ses manières de vivre.
Schéma page 77 à reprendre
Les déditices sont ceux qui ont pris les armes et combattu contre le peuple romain, et se sont rendus après la défaite.
Les déditices sont ceux qui ont pris les armes et combattu contre le peuple romain, et se sont rendus après la défaite.
Séance 4 - Les formes et conséquences d'une romanisation généralisée dans les territoires de l'Empire grâce à la diffusion d'une citoyenneté pour tous
Les formes de la romanisation
- nouvelle organisation et nouvelle gouvernance des villes et des provinces, qui
permet une admnistration plus simple donnée aux élites locales et
menées par l'ordre des décurions (sorte de conseil municipal local
rassemblant les plus fortunés)
- nouvelle formes urbaines des villes:
-
organisation des cités autour d'un plan typiquement romain lié à la
sacralisation d'un espace organisé autour d'un plan orthogonal découpé
par le cardo et le decumanus, sur le modèle de la fondation de Rome.
-
nouveaux types de batiments, d'infrastructures et de monuments
typiquement romains à la gloire des Empereurs et des divinités (théâtre,
thermes, forum, arc de triomphe...)
- nouvelles pratiques religieuses :
le culte local est romanisé et les divinités renommées ou incluses aux cultes romains et impérial
- nouvelle langue : le latin s'impose aux élites et à ceux qui gouvernent localement
- nouvelles pratiques administratives et de nouvelles normes: le droit romain et les procédures romaines s'imposent
- nouvelles pratiques sociales et culturelles,
liées à l'imposition du latin, à des nouveaux édifices, à de nouvelles
règles et normes et à de nouvelles pratiques et modes venues de Rome.
Le
mode de vie et de pensée de la civilisation romaine s'impose à
l'Empire, à ses élites puis très lentement à l'ensemble des populations.
Les Gaulois deviennent par exemple des gallo-romains, ils gardent une
partie de leur culture propre mais l'influence romaine s'ajoute et
remplace en partie les attributs locaux.
La citoyenneté par sa diffusion a permis et renforcé la romanisation, qui elle-même a permis à la citoyenneté romaine de s'imposer plus aisément dans l'Empire.
Cours dialogué: Production d'un schéma heuristique présentant la romanisation et ses conséquences.
La romanisation, c'est le processus d'assimilation, voire d'acculturation, rencontré dans les diverses régions conquises par Rome. Pour faire plus simple, il s'agit de l'adoption par les vaincus du système politique et social, des coutumes et des différentes formes de culture émanant de Rome.
La première phase de romanisation se résume essentiellement à une conquête militaire, mais doit composer avec les rébellions qui marquent une certaine résistance. (En Gaule, l'insurrection menée par l'Arverne Vercingétorix en 52 av. J.-C). Toutefois, comme le signale Jules César dans ses Commentaires de la guerre des Gaules, huit années ont suffi pour pacifier le pays (mais il aura fallut deux siècles pour pacifier la péninsule ibérique). Après la Pax Romana, l'arrivée d'immigrants d'origine romaine et italique s'établissant dans les cités permet l'émergence de foyers de diffusion culturelle, doublés de centres de contrôle politique et administratif. Les vétérans des légions, mais également des colons italiques en quête de nouvelles terres et de meilleures conditions de vie influent alors sur le processus de romanisation.
La seconde phase de la romanisation est liée à l'accession à la citoyenneté romaine. Pour les peuples italiques, ce sera chose faite au Ier s. av JC. Les Gaulois des villes obtiennent le droit de cité en 49 av. J.-C., permettant ainsi le ralliement des élites urbaines. Enfin en 212, l'empereur Caracalla élargit ce droit à tous les sujets libres de l'Empire, en vertu de la Constitutio Antoniniana. Ce droit de citoyenneté permet la mise en place d'un climat propice à l'acceptation de Rome.
La troisième phase est liée à l'assimilation culturelle : l'adoption de la langue latine dans tous les milieux reflète une tendance à l'uniformisation culturelle. Néanmoins, les régions conservent leurs dialectes ainsi que certaines coutumes et traditions culturelles. De même, la romanisation se manifeste par la pénétration de la religion romaine. Elle se traduit également par l'adoption des vêtements et du mobilier, des noms (praenomen, nomen et cognomen), par l'usage de la monnaie, du système métrique ainsi que par l'acceptation du droit romain qui supplante les coutumes tribales. L'adoption des pratiques commerciales romaines est favorisée par la construction des voies romaines pavées (permettant le désenclavement des provinces les plus reculées de l'Empire) et le développement des voies maritimes.Le processus de romanisation est renforcé par la fondation ou la restructuration des villes. Construites selon un plan en damier, les villes des colonies romaines comportent systématiquement un forum et des édifices symboliques de l'identité et de la culture romaine : amphithéâtres, thermes, temples, aqueducs. Le nouveau visage des villes permet d'amener progressivement et en douceur les populations aux pratiques des colonisateurs (voir Leptis Magna en Libye et les exemples locaux).
Limites à la Romanisation - Même si l'intégration de la Gaule par Rome a été une réussite presque totale, la romanisation n'a pas été générale dans tout l'Empire. Comment expliquer cet échec ? Deux éléments de réponse : 1 - le peu d'intérêt des Romains à contrôler et peupler des territoires pauvres et marginaux; 2 - parce que la domination romaine a parfois été plus nominale qu'effective.
CONCLUSION
La citoyenneté dans l’Athènes du Vème siècle avant J-C et celle dans l’Empire romain du Ier au IIIème siècle sont fondamentalement différentes aussi bien dans leur contenu que dans leur diffusion.
De fait, dans son contenu la citoyenneté athénienne implique une égalité des droits qui n’existe pas dans la citoyenneté romaine. De plus, alors que la première implique des droits très importants, la citoyenneté romaine est presque vide de contenu politique.
Dans sa diffusion, le statut de citoyen athénien est réservé à une élite alors que celui de citoyens romains tend vers l’universalité.
Il semblerait que nos démocraties contemporaines aient pris le meilleur des deux modèles en instaurant une égalité en droit entre les citoyens et en tendant vers l’universalité.
La citoyenneté par sa diffusion a permis et renforcé la romanisation, qui elle-même a permis à la citoyenneté romaine de s'imposer plus aisément dans l'Empire.
Cours dialogué: Production d'un schéma heuristique présentant la romanisation et ses conséquences.
La romanisation, c'est le processus d'assimilation, voire d'acculturation, rencontré dans les diverses régions conquises par Rome. Pour faire plus simple, il s'agit de l'adoption par les vaincus du système politique et social, des coutumes et des différentes formes de culture émanant de Rome.
La première phase de romanisation se résume essentiellement à une conquête militaire, mais doit composer avec les rébellions qui marquent une certaine résistance. (En Gaule, l'insurrection menée par l'Arverne Vercingétorix en 52 av. J.-C). Toutefois, comme le signale Jules César dans ses Commentaires de la guerre des Gaules, huit années ont suffi pour pacifier le pays (mais il aura fallut deux siècles pour pacifier la péninsule ibérique). Après la Pax Romana, l'arrivée d'immigrants d'origine romaine et italique s'établissant dans les cités permet l'émergence de foyers de diffusion culturelle, doublés de centres de contrôle politique et administratif. Les vétérans des légions, mais également des colons italiques en quête de nouvelles terres et de meilleures conditions de vie influent alors sur le processus de romanisation.
La seconde phase de la romanisation est liée à l'accession à la citoyenneté romaine. Pour les peuples italiques, ce sera chose faite au Ier s. av JC. Les Gaulois des villes obtiennent le droit de cité en 49 av. J.-C., permettant ainsi le ralliement des élites urbaines. Enfin en 212, l'empereur Caracalla élargit ce droit à tous les sujets libres de l'Empire, en vertu de la Constitutio Antoniniana. Ce droit de citoyenneté permet la mise en place d'un climat propice à l'acceptation de Rome.
La troisième phase est liée à l'assimilation culturelle : l'adoption de la langue latine dans tous les milieux reflète une tendance à l'uniformisation culturelle. Néanmoins, les régions conservent leurs dialectes ainsi que certaines coutumes et traditions culturelles. De même, la romanisation se manifeste par la pénétration de la religion romaine. Elle se traduit également par l'adoption des vêtements et du mobilier, des noms (praenomen, nomen et cognomen), par l'usage de la monnaie, du système métrique ainsi que par l'acceptation du droit romain qui supplante les coutumes tribales. L'adoption des pratiques commerciales romaines est favorisée par la construction des voies romaines pavées (permettant le désenclavement des provinces les plus reculées de l'Empire) et le développement des voies maritimes.Le processus de romanisation est renforcé par la fondation ou la restructuration des villes. Construites selon un plan en damier, les villes des colonies romaines comportent systématiquement un forum et des édifices symboliques de l'identité et de la culture romaine : amphithéâtres, thermes, temples, aqueducs. Le nouveau visage des villes permet d'amener progressivement et en douceur les populations aux pratiques des colonisateurs (voir Leptis Magna en Libye et les exemples locaux).
Limites à la Romanisation - Même si l'intégration de la Gaule par Rome a été une réussite presque totale, la romanisation n'a pas été générale dans tout l'Empire. Comment expliquer cet échec ? Deux éléments de réponse : 1 - le peu d'intérêt des Romains à contrôler et peupler des territoires pauvres et marginaux; 2 - parce que la domination romaine a parfois été plus nominale qu'effective.
CONCLUSION
La citoyenneté dans l’Athènes du Vème siècle avant J-C et celle dans l’Empire romain du Ier au IIIème siècle sont fondamentalement différentes aussi bien dans leur contenu que dans leur diffusion.
De fait, dans son contenu la citoyenneté athénienne implique une égalité des droits qui n’existe pas dans la citoyenneté romaine. De plus, alors que la première implique des droits très importants, la citoyenneté romaine est presque vide de contenu politique.
Dans sa diffusion, le statut de citoyen athénien est réservé à une élite alors que celui de citoyens romains tend vers l’universalité.
Il semblerait que nos démocraties contemporaines aient pris le meilleur des deux modèles en instaurant une égalité en droit entre les citoyens et en tendant vers l’universalité.
Travail mardi 18 octobre
Travail collectif
-
Préparer les biographies avec illustrations de
Compléter avec le cours en ligne, les deux schémas heuristiques
- Jules César,
- Claude,
- Auguste,
- Vespasien,
- Tibère,
- Trajan,
- Caracalla,
- Hadrien,
- Suétone, Tacite, Dion Cassius et Sénéque
Compléter avec le cours en ligne, les deux schémas heuristiques
Programme de l'évaluation pour mercredi 19 octobre
Liste des définitions à connaître
Travail pour mercredi 19 octobre
- émigration
- immigration
- développement durable
- citoyenneté
- romanisation
- isonomie
- démocratie, oligarchie, aristocratie, ploutocratie, tyrannie
- éphébie
- puissance
- géopolitique
- misthos
- ostracisme
- pérégrin
- droit de cité
- chronologie des sommets de la Terre et du développement durable
- chronologie de la citoyenneté athénienne
- chronologie de la citoyenneté romaine
- droits et devoirs de la citoyenneté athénienne
- droits et devoirs de la citoyenneté romaine
- institutions athéniennes et rôles
- extension de la citoyenneté romaine et motivations
- différences et points communs entre Rome et Athènes
Travail pour mercredi 19 octobre
Par groupes, vous allez répondre au sujet suivant;
La citoyenneté dans l'Antiquité : Athènes au Vème siècle-Rome au Ier-IIIème siècles, points communs, différences et spécifités
Rédaction sous forme de tableau avec introduction et conclusion rédigées
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